La voix du silence
Dans l’ombre d’une vie volée, une étoile s’est levée,
Frappée, meurtrie, souillée, mais jamais terrassée,
Elle, mère, épouse, femme au foyer,
Dans ses yeux le reflet d’un combat, acculé.
Dans l’ombre d’une vie volée, une étoile s’est levée,
Frappée, meurtrie, souillée, mais jamais terrassée,
Elle, mère, épouse, femme au foyer,
Dans ses yeux le reflet d’un combat, acculé.
Dans son nid de douceur, le chat s’est blotti,
Enveloppé de rêves, dans son couffin, il médite.
Son oeil mi-clos, guettant avec la lune pour guide,
Il surveille son humain, tel un bijou.
Noël, c’est comme un coffre aux trésors géant,
Plein de surprises et de jeux, c’est vraiment amusant.
Partout des lumières qui clignotent, ça brille fort,
On dirait des étoiles qui sont descendues pour faire un décor.
Un professeur, l’âme sincère,
Enseignait les mots, les vers, les rimes,
La littérature, un trésor sans limites,
Il parlait du monde, de l’amour, de la vie.
À travers les pages, il les guidait.
« Il n’y a pas de question bête », disait-il avec un sourire,
Chaque interrogation est un désir de s’épanouir. Un professeur, l’âme sincère,
Enseignait les mots, les vers, les rimes,
La littérature, un trésor sans limites,
Il parlait du monde, de l’amour, de la vie.
À travers les pages, il les guidait.
« Il n’y a pas de question bête », disait-il avec un sourire,
Chaque interrogation est un désir de s’épanouir.
Dans cette chambre d’hôpital, du haut de mes quinze ans,
Mon destin en main, courageux et solitaire,
Dans mon cœur, brûle un feu ardent,
Vibre une force intérieure, extraordinaire.
Dans la clarté joyeuse d’un jour qui se lève,
Une âme s’épanouit, le poème qui s’achève,
Tel un oiseau chantant sa mélodie captivante,
Il éclot en couleurs, dans une danse enivrante.
Dans un café animé, nos regards se sont effleurés,
Un homme et une femme, une première rencontre sublimée,
Le cœur battant, les mots se sont tus dans notre gorge,
Mais dans nos yeux, s’est déjà nouée une histoire.
Où qu’il soit, je sais qu’il est fier,
De moi et de ceux qu’il a su toucher,
Dans les eaux, je suis son digne héritier,
Et je poursuis mes passions, sans jamais m’arrêter.
Trois fleurs dansent au cœur d’un jardin,
Où couleurs éclatantes et parfums s’entremêlent,
Un véritable paradis floral, un éden divin,
Où la beauté des fleurs se révèle.
Chère petite cuillère, gardienne de mes secrets,
Dans ta présence, je trouve un refuge discret,
Tu m’accompagnes dans mes heures sombres,
Me faisant oublier les ombres qui encombrent.